BENJAMIN STEIB, PASSIONNÉ DE MÉCANIQUE MOTO ET PARTICULIÈREMENT DE HARLEY, DÉCIDE D’OUVRIR SON PROPRE ATELIER POUR RÉPONDRE AUX BESOINS DE LA COMMUNAUTÉ CHABLAISIENNE, TRÈS ENGAGÉE DANS CET UNIVERS.
Que faisiez-vous avant de lancer Klusters ?
Avec Brandon, mon ancien apprenti, nous avons travaillé dans des garages à Lyon puis en Suisse. Passionné de Harley depuis toujours, j’ai ouvert l’atelier pendant le Covid, d’où le nom « Cluster », avec un K.
Comment définirez-vous votre activité ?
Nous proposons de l’entretien, de la réparation et de la customisation de Harley et Indian, allant du plus simple au plus complexe. Nous réalisons également un peu de tôlerie, comme la fabrication de réservoirs et de garde boues. Pour la carrosserie et la peinture, nous sous-traitons.
Il y a une grosse clientèle de Harley dans le Chablais ?
Absolument, Thonon est une ville dynamique sur les plans sportif et culturel, notamment grâce à des disciplines comme le football américain et le hockey. Cela permet de rencontrer beaucoup de monde, et il y a une véritable clientèle de passionnés de Harley, notamment en provenance de Suisse. La majorité de nos clients sont des hommes, entre 30 et 70 ans, mais il y a aussi des femmes. Nous participons à des rassemblements locaux, comme celui de Sciez ou les Morzine Harley Days.
D’où vient le mythe de la Harley, selon vous ?
Le mythe de la Harley vient du rêve américain, des grandes routes et de la liberté qu’elles symbolisent. C’est l’une des rares marques mythiques qui conserve sa valeur au fil du temps.
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